« Crettaz : Et comme l’espérance est violente »
Vor 1 Woche
La Vidondée
Commune de Riddes
« Crettaz : Et comme l’espérance est violente »
Film documentaire Suisse
Mardi 1er octobre 2024 à 19h00
La Vidondée, Rue de la Vidondée 2, 1908 Riddes
Nasser & Béatrice Bakhti – Troubadour Films
En présence des réalisateurs
Bon pied, bon œil et bonne mémoire. À 84 ans, Bernard Crettaz, le verbe fervent, jamais dénué d’humour, nous accueille les bras ouverts et nous promène à travers les chemins de traverse de sa vie. C’est l’histoire d’un fils de paysan devenu sociologue. En créant les cafés mortels, Bernard Crettaz a fait de la mort l’œuvre de sa vie. On le surnomme désormais «Monsieur Mort». C’est aussi l’histoire d’un homme qui se destinait à la vie monacale, comme en rêvait sa mère. Mais à 20 ans, la première mini-jupe de la vallée, portée par Antoinette aux formes généreuses, a eu raison de sa vocation.
A l’automne de sa vie, son corps douloureux lui rappelle que l’avenir n’est plus une promesse. Face à l’inéluctable, toutes ses croyances s’effondrent, et son humanité à fleur de peau vacille. Il se maintient grâce à une curiosité et à un émerveillement de tous les instants. Ce film l’aide à questionner sa vie, son pays, sa foi, sa mort, sa montagne et tout ce qu’il a accompli à ce jour, avec bien sûr une passion pour la transmission. Il avait à cœur de se saisir de ces thèmes, en les affrontant sans détours, et avec un franc-parler rare.
Bande annonce
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« Crettaz : Et comme l’espérance est violente »
Vor 1 Woche
La Vidondée
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« Crettaz : Et comme l’espérance est violente »
Film documentaire Suisse
Mardi 1er octobre 2024 à 19h00
La Vidondée, Rue de la Vidondée 2, 1908 Riddes
Nasser & Béatrice Bakhti – Troubadour Films
En présence des réalisateurs
Bon pied, bon œil et bonne mémoire. À 84 ans, Bernard Crettaz, le verbe fervent, jamais dénué d’humour, nous accueille les bras ouverts et nous promène à travers les chemins de traverse de sa vie. C’est l’histoire d’un fils de paysan devenu sociologue. En créant les cafés mortels, Bernard Crettaz a fait de la mort l’œuvre de sa vie. On le surnomme désormais «Monsieur Mort». C’est aussi l’histoire d’un homme qui se destinait à la vie monacale, comme en rêvait sa mère. Mais à 20 ans, la première mini-jupe de la vallée, portée par Antoinette aux formes généreuses, a eu raison de sa vocation.
A l’automne de sa vie, son corps douloureux lui rappelle que l’avenir n’est plus une promesse. Face à l’inéluctable, toutes ses croyances s’effondrent, et son humanité à fleur de peau vacille. Il se maintient grâce à une curiosité et à un émerveillement de tous les instants. Ce film l’aide à questionner sa vie, son pays, sa foi, sa mort, sa montagne et tout ce qu’il a accompli à ce jour, avec bien sûr une passion pour la transmission. Il avait à cœur de se saisir de ces thèmes, en les affrontant sans détours, et avec un franc-parler rare.
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