Bal(l)ades... 2 Sacrée musique

sam. 17 août

Les Breuleux, église paroissiale

Opéra Décentralisé Neuchâtel / Les Jardins Musicaux

Bal(l)ades... 2 Sacrée musique - Concerts

Deux options s’offrent à vous: achetez un billet libellé «Découverte + Concert» (début à 15:00) ou un billet «Concert uniquement» (début à 17:00).Les places sont limitées pour les parties «Découverte», seul l’achat d’un billet «Découverte + Concert» vous en assure l’accès. DÉCOUVERTE 15:00CARRIÈRE ET ENVIRONNEMENT, DES MESURES NOVATRICESLe Parc du Doubs propose une visite de la carrière de la Fin-des-Chaux. Le public découvrira une exploitation, un projet d’extension exemplaire ainsi que les mesures environnementales et paysagères novatrices pour la mise en valeur des terrains tout en prenant soin de l’écosystème. CONCERT 17:00GIOACHINO ROSSINI (1792–1868)Petite messe solennelle (1863)Première partie1. Kyrie eleison2. GloriaGloria in excelsis Deo | Gratias | Domine Deus | Qui tollis | Quoniam | Cum Sancto SpirituDeuxième partie1. CredoCredo | Crucifixus | Et resurrexit | Prélude religieux2. Sanctus3. O salutaris Hostia4. Agnus Dei Clara Meloni, sopranoAnnina Haug, altoBernard Richter, ténorRémi Ortega, barytonArthur Saunier, harmoniumRaphaël Krajka et Antoine Françoise, pianos ENSEMBLE LA SESTINADirection : Valentin ReymondPréparation du choeur : Adriano Giardina «Bon Dieu. La voilà terminée cette pauvre petite messe. Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire ou de la sacrée musique ? J'étais né pour l’opéra buffa, tu le sais bien ! Peu de science, un peu de coeur, tout est là. Sois donc béni et accorde-moi le Paradis.» Sur la page de garde du manuscrit, Rossini précise : «Petite messe solennelle à quatre parties, avec accompagnement de deux pianos et harmonium,composée pour ma villégiature de Passy. Douze chanteurs des trois sexes (…) seront suffisantspour son exécution (…). Seigneur, rassure-toi, (…) les miens chanteront juste et con amore teslouanges et cette petite composition qui est hélas le dernier péché mortel de ma vieillesse.»Gioachino Rossini, Passy, 1863

Retour