La demande d’asile (atelier) / Nicolas Barry

Sat, 16 Aug

Maison de quartier de la Levratte

fondation far°

La demande d’asile (atelier) / Nicolas Barry - Workshops and courses

Participez à un atelier animé par l'équipe artistique du spectacle La demande d'asile. Vous découvrirez à cette occasion l’univers du spectacle. Il est possible de venir uniquement à l’atelier sans participer au spectacle du far°.   Atelier de danse et de mouvement avec l’équipe artistique. Samedi 16.08 de 10h30 à 12h Maison de quartier de la Levratte Tout âge Gratuit Durée 1h30 (arrivée et départ possibles en tout temps) Aucune expérience requise   À savoir :  - Le billet de spectacle vous permet d’emprunter gratuitement les trains entre Gland et Nyon et le bus pour aller à la Levratte (Zones Mobilis 20, 23, 91, 92 sur présentation du billet officiel à la date du jour. Valable 3h avant et après le spectacle).   Comment y aller ? > 10’ en transports publics : bus 804 (dir. Chantemerle), arrêt « Nyon, La Levratte », puis 3’ à pied > 20’ à pied depuis la Cour des Marchandises    La demande d'asile Duo de danse-théâtre, La demande d’asile (vendredi 15.08 à 19h à Gland & samedi 16.08 à 17h à Nyon) met en lumière le strict protocole régissant les procédures de l’Ofpra (Office français des réfugiés et apatrides). Parce que la crédibilité de leurs récits est décisive, des associations aident les demandeureuses à préparer leur entretien à l’Ofpra. Cependant, raviver des traumatismes devant les autorités reste une épreuve physique et psychologique. Celle-ci est particulièrement éprouvante pour les personnes LGBTQIA+: comment trouver les mots pour dévoiler une identité longtemps cachée? Comment parler d’amour? Avec La demande d’asile, Nicolas Barry dénonce un dispositif administratif oppressant, plus proche de l’enquête judiciaire que de l’accueil. S’appuyant sur les ressorts du théâtre, il chorégraphie le face à face d’une agente de l’Ofpra et d’une femme qui demande l’asile en raison de son orientation sexuelle. Leurs gestes tourbillonnent, comme les questions précises, répétées et, d’un coup, suspicieuses. La scène tourne au grotesque. Avant un nouveau retournement de situation?